Cas de cyberattaques, notamment celles d'un groupe connu sous le nom d'APT40, dont le gouvernement chinois est à l'origine (Déclaration de YOSHIDA Tomoyuki, Porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Japon)
2021/7/19
1. La sécurité du cyberespace est extrêmement importante pour assurer la paix et la prospérité de la communauté internationale, y compris du Japon, et cela a été réaffirmé lors du récent sommet des dirigeants du G7 qui s'est tenu au Royaume-Uni.
2. Dans ce contexte, le 19 juillet (heure locale), le Royaume-Uni, les États-Unis et d'autres pays ont publié des déclarations publiques, notamment sur un groupe menant des cyberattaques connu sous le nom d'APT40, dont le gouvernement chinois est à l'origine, et une mise en accusation de quatre membres d'APT40 a été publiée aux États-Unis. Le Japon estime également qu'il est très probable que le gouvernement chinois soit à l'origine de l'APT40 et il suit de près et avec une profonde inquiétude les attaques de l'APT40 et d'autres groupes qui menacent la sécurité du cyberespace. Le Japon soutient fermement les déclarations publiques du Royaume-Uni, des États-Unis et d'autres pays qui expriment leur détermination à faire respecter l'ordre international fondé sur des règles dans le cyberespace.
3. Le Japon a récemment fait l'annonce de cyberattaques dans lesquelles il est très probable qu'un groupe de cyberattaques appelé Tick, dont l'Unité 61419 de l'Armée populaire de libération chinoise est à l'origine, était impliqué. Le Japon a également confirmé que des entreprises japonaises ont également été visées dans l'affaire susmentionnée par le groupe connu sous le nom d'APT40.
4. Les cyberactivités malveillantes qui pourraient potentiellement saper le fondement de la démocratie incarné par un cyberespace libre, équitable et sécurisé ne peuvent être tolérées. Le gouvernement du Japon considère qu'il s'agit d'un sujet de forte préoccupation du point de vue de la sécurité nationale qu’il condamne fermement, et prendra des mesures strictes contre ces activités.
5. Le Japon continuera à coopérer étroitement avec la communauté internationale, y compris les pays du G7, et à faire des efforts pour développer un cyberespace libre, équitable et sûr.
Traduction provisoire et uniquement informative
Article original en anglais
2. Dans ce contexte, le 19 juillet (heure locale), le Royaume-Uni, les États-Unis et d'autres pays ont publié des déclarations publiques, notamment sur un groupe menant des cyberattaques connu sous le nom d'APT40, dont le gouvernement chinois est à l'origine, et une mise en accusation de quatre membres d'APT40 a été publiée aux États-Unis. Le Japon estime également qu'il est très probable que le gouvernement chinois soit à l'origine de l'APT40 et il suit de près et avec une profonde inquiétude les attaques de l'APT40 et d'autres groupes qui menacent la sécurité du cyberespace. Le Japon soutient fermement les déclarations publiques du Royaume-Uni, des États-Unis et d'autres pays qui expriment leur détermination à faire respecter l'ordre international fondé sur des règles dans le cyberespace.
3. Le Japon a récemment fait l'annonce de cyberattaques dans lesquelles il est très probable qu'un groupe de cyberattaques appelé Tick, dont l'Unité 61419 de l'Armée populaire de libération chinoise est à l'origine, était impliqué. Le Japon a également confirmé que des entreprises japonaises ont également été visées dans l'affaire susmentionnée par le groupe connu sous le nom d'APT40.
4. Les cyberactivités malveillantes qui pourraient potentiellement saper le fondement de la démocratie incarné par un cyberespace libre, équitable et sécurisé ne peuvent être tolérées. Le gouvernement du Japon considère qu'il s'agit d'un sujet de forte préoccupation du point de vue de la sécurité nationale qu’il condamne fermement, et prendra des mesures strictes contre ces activités.
5. Le Japon continuera à coopérer étroitement avec la communauté internationale, y compris les pays du G7, et à faire des efforts pour développer un cyberespace libre, équitable et sûr.
Traduction provisoire et uniquement informative
Article original en anglais