Participation du ministre adjoint principal des affaires étrangères AKAHORI à la conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial pour l’engagement communautaire et la résilience (GCERF)
2025/9/30
© Johnny Vacar/GCERF
En déplacement à New York (États-Unis), le ministre adjoint principal aux affaires étrangères AKAHORI Takeshi a participé le 26 septembre (25 septembre, heure locale) à la réunion ministérielle de la conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial pour l’engagement communautaire et la résilience (Global Community Engagement and Resilience Fund ou GCERF).
Référence 1 : Fonds mondial pour l’engagement communautaire et la résilience (GCERF)
Créé en juin 2014 sur une proposition du Forum mondial de lutte contre le terrorisme (GCTF), le GCERF est une fondation à but non lucratif s’inspirant du GCTF et œuvrant pour la prévention de l’extrémisme violent (PVE). Financé par des contributeurs publics et privés, il alloue les ressources collectées à des programmes soumis par des autorités locales, des membres de la société civile ou de tout autre organisme œuvrant à la prévention de l’extrémisme violent au niveau local. Il fournit également un contrôle, un suivi et une évaluation de ces différents programmes.
Membre de son conseil d’administration, le Japon a financé depuis 2014 pour plus de 9,2 millions USD de programmes aux Philippines, au Ghana ou encore en Indonésie.
Référence 2 : document annexe
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- Co-présidée par les gouvernements allemand et tchadien, cette conférence a réuni différents responsables gouvernementaux, dont des chefs d’État et des ministres. Les participants ont débattu des mesures prises par les différents pays pour lutter contre l’extrémisme violent, qui constitue une menace pour la paix et la stabilité internationales, ainsi que des financements des futures activités du GCERF.
- Représentant le Japon, M. AKAHORI a insisté dans son allocution sur la détermination du Japon à ne tolérer aucune forme de terrorisme ou d’extrémisme violent, évoquant ses collaborations avec différents pays, l’ONU et des organismes internationaux comme le GCERF. Présentant l’engagement du Japon dans la lutte contre l’extrémisme violent dans diverses régions du monde, notamment en Indo-Pacifique et en Afrique, il a souligné l’importance de développer une coopération renforcée avec le GCERF.
Référence 1 : Fonds mondial pour l’engagement communautaire et la résilience (GCERF)
Créé en juin 2014 sur une proposition du Forum mondial de lutte contre le terrorisme (GCTF), le GCERF est une fondation à but non lucratif s’inspirant du GCTF et œuvrant pour la prévention de l’extrémisme violent (PVE). Financé par des contributeurs publics et privés, il alloue les ressources collectées à des programmes soumis par des autorités locales, des membres de la société civile ou de tout autre organisme œuvrant à la prévention de l’extrémisme violent au niveau local. Il fournit également un contrôle, un suivi et une évaluation de ces différents programmes.
Membre de son conseil d’administration, le Japon a financé depuis 2014 pour plus de 9,2 millions USD de programmes aux Philippines, au Ghana ou encore en Indonésie.
Référence 2 : document annexe
- Allocution de M. AKAHORI : en anglais
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Traduction provisoire et purement informative